
Chers amis zinéphages, bonjour !
Aujourd’hui les poteaux on va dégoiser un peu sur Michel Audiard. On a tous vu Les tontons flingueurs (1963) en long, en large et en travers, on connait les dialogues par cœur, on se régale de la scène de biture dans la cuisine avec les tontons, on l’a vu net ou bien attaqué et on lui trouve toujours un goût de betterave, c’est normal, y’en a, comme dit Francis Blanche, qui nous fait toujours marrer lorsqu’il déclare c’est curieux, chez les marins, ce besoin de faire des phrases après que Lino vienne de balancer un gros bourre-pif audit marin.