
Peut-être la plus grosse injustice du palmarès du dernier Festival de Cannes, Au-delà des montagnes de Jia Zhang-Ke est reparti bredouille alors qu’il avait tout pour faire une bonne Palme d’Or : un scénario et une mise en scène à l’ambition dingue et des acteurs extraordinaires, le tout témoignant – comme à son habitude – des bouleversements politiques et sociaux d’une Chine se perdant dans une sorte de modernité syncrétique. Critique.