
Le 5 février dernier, Dario Argento était présent à la cinémathèque française pour la quatrième édition du festival “Toute la mémoire du monde”, l’occasion pour moi de me pencher sur l’oeuvre de ce cinéaste, en commençant par Suspiria.
Suzy, une jeune ballerine américaine, arrive dans la prestigieuse académie de danse de Fribourg afin d’y parfaire sa technique. Mais rapidement, elle soupçonne l’école d’être dirigée par Helena Markos, une sorcière plus connue sous le nom de Mater Suspiriorum, la mère des Soupirs.