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Notre top 10 de l’année 2016

By 18 décembre 2016avril 9th, 2018Les Tops
top10 2016

Comme chaque année, la rédaction vous propose son top 10 des films de l’année. Cette année, plus encore que d’habitude, nos choix sont pour le moins éclectiques… Top 10 de la rédaction : c’est parti !

LE TOP 10 DE NOODLES :

 

  1. The Strangers de Na Hong-Jin : Une intrigue foisonnant de détails sur la Corée contemporaine, des rebondissements et thématiques puissantes, une vision bis du cinéma d’auteur qui nous touche tout particulièrement, une mise en scène maîtrisée mais faisant la part belle à des expérimentations (y compris sonores), n’en jetez plus, on a trouvé notre numéro 1.
  2. Creed de Ryan Coogler : Enfin un reboot réussi, comme quoi c’est possible de faire dans l’hommage et la nostalgie sans tomber dans la complaisance. Des personnages biens écrits, des enjeux clairs, simples, universels et des moments de bravoure placés au bon moment, prouvant que Ryan Coogler est un futur grand metteur en scène et scénariste. Le tout servant une vision réinventée mais cohérente de la saga mythique. Du grand cinéma.
  3. Elle de Paul Verhoeven : Un dispositif beaucoup moins ambitieux que lors de ses précédents films, pourtant Verhoeven surclasse l’année cinéma française de toute sa maestria perverse. Film dérangeant mais maniant une nouvelle fois les degrés de lecture avec virtuosité.
  4. Mademoiselle de Park Chan-Wook : Que dire à part que ce film aurait mérité un prix de la mise en scène ? Quelle virtuosité, quelle talent pour raconter des histoires passionnantes et universelles (oui, oui, il ne s’agit pas que de saphisme) !
  5. Midnight special de Jeff Nichols : Jeff Nichols assume sa mélancolie, car il sait que parfois, notamment lorsqu’il s’agit de voir grandir ses enfants, il faut sans doute savoir lâcher prise. Un beau conte d’apprentissage.
  6. Ave, César ! de Joel Coen et Ethan Coen : Boudé par la critique, ce film est pourtant bien plus qu’un simple divertissement inoffensif. Boosté par quelques scènes à se tordre par terre, ce film est aussi une critique sociale violente du monde du cinéma et des moeurs de nos sociétés. Would that it were so simple ?
  7. Toni Erdmann de Maren Ade : Des seconds rôles traités comme des princes, des personnages principaux aussi détestables qu’intéressants, ce film est un réel tour de force narratif.
  8. Premier contact de Denis Villeneuve : Quand Villeneuve prend enfin son envol, on s’aperçoit qu’il fraye avec les plus grands : de Kubrick à Tarkovski, il n’a peur de rien. Et, en effet, il ne souffre pas de la comparaison : vite la suite !
  9. Un jour avec, un jour sans de Hong Sang-soo : Positionnement radical et quasiment expérimental de filmer deux fois la même histoire : pas du tout comme Rashomon de Kurosawa, il s’agit bien de deux fois la même situation. Cette proposition tient du miracle sur le fond comme sur la forme tant Hong Sang-Soo parvient à nous tenir en haleine deux fois d’affilé pour cette amourette. Comment y parvient-il ? En déplaçant légèrement son propos et sa caméra pour nous prouver que des personnages et des situations, qui pourraient nous paraître un brin archétypaux, sont toujours plus complexes que l’on pourrait l’imaginer.
  10. The Nice guys de Shane Black : Comment faire de Ryan Gosling et de Russell Crowe, le couple de buddy movie le plus intéressant des années 2000 ? Réponse avec ce film. En plus, il s’agit tout simplement du film le plus drôle de l’année. 
Zootopie

LE TOP 10 DE DORY :

Pas facile de choisir 10 films sur cette année 2016. D’ailleurs, j’ai rendu mon Top en retard, parce que j’avais plus de facilité à faire un flop 10. Et puis j’ai pas pu voir tous les films que je voulais. Voici quand même un Top 10, c’est pour moi, c’est cadeau.

  1. Zootopie de Byron Howard et Rich Moor : Meilleur scénario, visuellement c’est parfait, meilleur film d’animation jusqu’ici, rien à redire.
  2. Sing Street de John Carney : De la musique, de l’espoir, de l’amour : la recette idéale du feel-good movie.
  3. Kubo et l’armure magique de Travis Knight : Petit bijou de patience et magie visuelle.
  4. The Revenant de Alejandro González Iñárritu : Pour l’Oscar de Léo et le hors-champ d’Inarritu.
  5. The Nice Guys de Shane Black : Pour Gosling qui se rate en pétant une vitre, pour le duo inattendu Ryan / Russell.
  6. Trumbo de Jay Roach : Parce que Bryan Cranston.
  7. La loi de la jungle de Antonin Peretjatko : OVNI visuel qui donne foi en le cinéma français et la comédie absurde.
  8. Ma vie de courgette de Claude Barras : Pour l’histoire difficile et les voix cassées des interprètes.
  9. Captain Fantastic de Matt Ross : Parce que “Sweet Child O’ Mine”. Et Viggo, bien sûr.
  10. Sausage Party de Conrad Vernon et Greg Tiernan : Pour faire chier les cathos.

LE TOP 10 DE BOTZKY :

Il en fallait dix alors en voilà dix, ceci dit à part les trois premiers je n’ai rien vu de véritablement exceptionnel. Je pense que si j’avais eu le temps de voir Toni Erdmann, il ferait sûrement partie de la liste. 

  1. L’étreinte du serpent de Ciro Guerra : bon, certes, le film est sorti le 23 déc. 2015 en France, mais je l’ai vu en février de cette année et il mérite de figurer sur cette liste car c’est le seul qui m’ait vraiment plu de bout en bout. Tout y est parfait, surprenant, planant, relaxant, la photo est géniale, le réalisateur évite les gros clichés genre le mythe du bon sauvage, parfait équilibre et bonne dose de folie.  Un très bon trip.
  2. Elle de Paul Verhoeven : Verhoeven est plus tout jeune mais il a toujours du mordant. Il nous délivre un Chabrol sauce hollandaise qui défonce les conventions, joue avec le spectateur, propose une morale bien personnelle. Très jouissif.
  3. Dernier Train pour Busan de Sang-Ho Yeon : moins prise de tête que The Strangers, cette série B coréenne renouvelle le film de zombie tout en plaçant sa petite critique sociale à la Romero. Le montage est vraiment parfait. Il n’y a aucun temps mort (sauf une petite scène méga kitsch sur la fin) , on est pris dans le film, on flippe avec les personnages, c’est du très bon cinéma de divertissement.
  4. Hunt for the Wilderpeople de Taika Waititi : Taika Waititi se débarasse de l’influence de Jemaine Clement et nous sort une comédie hilarante et tendre qui rappelle un peu l’été de Kikujiro de Kitano. Le gamin rebelle, un petit gros fan de Tupac, est excellent, tout comme Sam Neill et Rima Te Wiata, incroyable actrice qui ne joue que dix minutes mais dont la présence plane sur toute le reste du film. Les paysages du bush néo-zélandais sont superbes, la B.O aussi.
  5. The Witch de Robert Egger : un film d’horreur qui se distance radicalement de la vague actuelle. Retour aux sources avec dialogues en vieil anglais, superbe cinématographie, tension psychologique extrême, et une fin ultra flippante.
  6. Baccalauréat de Cristian Mungiu : Cristian Mungiu, le chouchou de Cannes, nous propose un regard implacable sur la corruption nationalisée en Roumanie avec de longs plans séquences à la Dardenne (dont je ne suis pas fan). Mais la critique sociale est vraiment bien amenée et le personnage principal a une étoffe incroyable. Et il y a tout de même un certain humour, un cynisme bienvenu. Petit couac sur la morale de fin tout de même, d’un coup on se croit dans un Capra. Ça pique.
  7. The nice guys de Shane Black : un buddy movie hilarant et pas con avec un Ryan Gosling qui joue bien !
  8. Don’t Breathe de Fede Alvarez : Trois personnes enfermées  dans une maison avec un aveugle : ca fait pas flipper ? Ben si, le réalisateur du nouveau Evil Dead nous sert un huis clos nerveux avec un méchant ultra flippant. Personnages archétypaux mais un bon rythme et des petites trouvailles cinématographiques pas mal du tout.
  9. The Strangers de Na Hong-jin : grosse attente, peut être trop grosse et du coup déception. Le film ne manque pas d’atout et de scènes fortes, voire excellentes, les acteurs principaux sont impecables, mais c’est beaucoup trop long et les circonvolutions narratives de la dernière demi-heure ainsi que les élucubrations religio-philosophiques finales alourdissent le tout. On sent que Hong-jin Na a voulu mettre trop d‘idées et qu’il a perdu le contrôle en route. Dommage.
  10. Diamant noir de Arthur Harari : un mélange entre le style de Jacques Audiard et Michaël R. Roskam (Rundskop). Alors certes, on rigole pas, encore moins que dans Baccalauréat, on chiale même pas mal, mais on a des bonnes performances d’acteur et une trame très originale. Le résultat l’est moins, mais on sent un certain potentiel.

LE TOP 10 D’ÉTIENNE :

  1. Carol de Todd Haynes :
    Sous ses abords de facture classique, « Carol » cache un film bouillant, plein de non-dits et de mouvements de caméra experts pour exprimer le désir, la pudeur, l’oppression d’une société encore étouffante. Todd Haynes continue de réinventer le Hollywood de l’âge d’or, entre nostalgie et cinéphilie.
  2. Aquarius de Kleber Mendonça Filho :
    La performance la plus éblouissante de l’année (Sonia Braga) pour le film le plus émouvant. La mémoire, la maladie, la famille, la question de l’identité, « Aquarius » se frotte à tous ces thèmes avec une ambition fascinante. Une femme que l’on chasse de chez elle. Son combat. Notre combat à tous.
  3. Nocturama de Bertrand Bonello :
    Le plus grand choc de l’année, avec des réactions profondes chez tous les spectateurs (très pour, très contre, faîtes votre choix). Encore un film sur le capitalisme, thème récurrent en 2016, mais présenté comme un polar haletant, où l’actualité et John Carpenter s’invitent. Meilleur bande-son de l’année.
  4. Baccalauréat de Christian Mungiu :
    Les ramifications ici sont spectaculaires, la façon dont le film semble partir d’un point simple comme tout et devient une véritable pieuvre. Tout est terrifiant chez Mungiu, même les bonnes intentions. Un classique passé assez inaperçu.
  5. In Jackson Heights de Frederick Wiseman :
    Wiseman, à près de 85 ans, film le quartier le plus cosmopolite du monde. Un quartier en souffrance, disparaissant peu à peu face à l’augmentation des loyers. Un monde terrible qui tend vers l’uniformisation et finalement un grand film sur la mort (d’une culture, d’une ville, d’hommes).
  6. Ta’ang, un peuple en exil entre Chine et Birmanie de Wang Bing :
    Wang Bing toujours au sommet sur la durée, ici sur un thème fort et actuel, la question des populations en migration. Femmes et enfants, la nuit, au coin d’un feu de camp, qui se racontent. Presque un retour à l’essence même de l’homme primitif, la faim, la survie, et un logement aussi précaire soit-il.
  7. Diamant noir de Arthur Harari :
    Premier film étincelant, sans mauvais jeu de mot, porté par un scénario intelligent et une interprétation magnifique. Chez ces diamantaires belges, presque chaque scène tient tout à la fois du thriller et porte en elle-même un nombre incalculable de métaphores.
  8. Toni Erdmann de Maren Ade :
    Beaucoup avaient prévu de s’ennuyer pour cette comédie allemand de près de 3h. Faux ! On ne voit pas le temps passer, entre réalisme documentaire et loufoqueries bienvenues. Le genre de spectacle qui laisse un goût étrange (doit-on rire ou pleurer) comme « The Office » à son meilleur en était capable.
  9. Elle de Paul Verhoeven :
    Comme prévu Verhoeven provoque et dérange, mais surtout il va au bout de ses petits jeux pervers. Il pousse ses personnages loin, là où son scénario le mène, là où aucun film français n’était jusque là allé. Huppert présidente en 2017.
  10. The Assassin de Hou Hsiao Hsien :
    Un film conçu sur des décennies, peut-être le plus réjouissant pour l’oeil cette année. Le sens du détail, les couleurs, les mouvements, comme une beauté abstraite. Et cette scène derrière les rideaux de soie…
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LE TOP 10 DE VAL :

 

J’ai vécu une sacrée relation d’amour/haine avec cette année cinématographique… Il faut dire qu’elle avait bien commencé : dès la première semaine, Quentin Tarantino nous livrait son meilleur film. Mais, passé ce choc, c’est la dégringolade : on connaît de gros passages à vide et les sorties peinent à m’intéresser… Mais au final, quand on regarde en arrière, on se dit que, malgré cette irrégularité, 2016 nous a offert un paquet de grands films.

  1. Les 8 Salopards de Quentin Tarantino
  2. The Strangers de Na Hong-Jin
  3. Tu ne tueras point de Mel Gibson
  4. Mademoiselle de Park Chan-Wook
  5. Elle de Paul Verhoeven
  6. Kubo et l’armure magique de Travis Knigh
  7. Voyage à travers le cinéma français de Bertrand Tavernier
  8. Dernier Train pour Busan de Yeon Sang-ho
  9. The Nice Guy de Shane Black
  10. Ma Vie de Courgette de Claude Barras
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LE TOP 10 DE KEYSER SWAYZE :

L’année 2016 fut intense pour les cinéphiles Les complotistes diront que tous les réalisateurs se sont passés le mot pour nous offrir leur plus grand film (Nicolas Winding Refn, Quentin Tarantino ou encore Shane Black). Ce talent a fait poid dans la balance face à des blockbusters manquant d’audace et d’inventivité. Au contraire, ce sont les petits budgets (Green Room, 10 Cloverfield Lane, The Nice Guys) qui ont réussi à sortir de la mélée. Bon, j’ai quand même mis Independance Day Resurgence car pour moi il résume parfaitement le modèle hollywoodien actuel: une énorme dose de remake et un over the top toujours plus excessif.

  1. The Neon Demon de Nicolas Winding Refn
  2. Green Room de Jeremy Saulnier
  3. Les 8 Salopards de Quentin Tarantino
  4. The Revenant de Alejandro González Iñárritu
  5. The Nice Guys de Shane Black
  6. Five de Igor Gotesman
  7. 10 Cloverfield Lane de Dan Trachtenberg
  8. Tout en haut du monde de Rémi Chayé
  9. Captain America: Civil War de Anthony Russo et Joe Russ
  10. Independence Resurgence de Roland Emmerich
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LE TOP 10 DE GHOST WRITER :

Jusqu’en décembre The Neon Demon a tenu la première place. Puis Premier Contact est arrivé. Avec ce film à la mise en scène parfaite, remarquable d’intelligence, de finesse et, inattendu pour de la SF, de sensibilité, Denis Villeneune tient son chef d’oeuvre, qui réussit l’exploit de déloger, certes de peu, le film magistral de Nicolas Winding Refn.

Illustration de la richesse de cette année de cinéma, la qualité des autres films de ce top 10 est particulièrement élevée et leur registre varié, entre film d’animation (La Tortue Rouge), thriller fantastique (The Strangers), documentaire (Jodorowsky’s Dune), drame (Carol), film d’angoisse (The Witch) ou comédie (La loi de la jungle). A ses portes on trouve Ma vie de courgette, l’excellent film d’animation de Claude Barras, qui mérite d’être mentionné pour la belle surprise qu’il a représenté cet automne.

  1. Premier Contact de Denis Villeneuve
  2. The Neon Demon de Nicolas Winding Refn
  3. Midnight Special de Jeff Nichols
  4. La Tortue Rouge de Michael Dudok de Wit
  5. The Witch de Robert Eggers
  6. The Stangers de Na Hong-jin
  7. Jodorowsky’s Dune de Frank Pavich
  8. Carol de Todd Hayne
  9. Elle de Paul Verhoeven
  10. La loi de la jungle de Antonin Peretjatko
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LE TOP 13 DE JULIEN :

  1. TU NE TUERAS POINT – Mel Gibson : Loin devant cette année, j’ai été scotché du début à la fin, j’ai été mal à l’aise, j’ai failli pleurer, une des plus belles scènes de bataille que j’ai vu au cinéma, un vibrant hommage à Stanley Kubrick et au héros du film qui fut un des premiers objecteurs de conscience dans l’armée américaine et qui a sauvé visiblement une centaine de vies humaines… Tout simplement poignant !
  2. 10, CLOVERFIELD LANE – Dan Trachtenberg : Tout ce pourquoi j’aime les films de genre et que je continuerais à les défendre, un petit bijou d’anticipation aux multiples rebondissements. A voir absolument sans rien connaître de l’histoire pour se perdre dans le jeu de pistes ! Chapeau !
  3. PREMIER CONTACT – Denis Villeneuve : Denis Villeneuve commence à truster tous mes tops chaque année (Sicario l’année dernière, Prisoners avant) et c’est mérité, encore un bijou de SF intelligente, poignante. Là encore un vibrant hommage à Stanley Kubrick. Je ne peux qu’attendre avec impatience son Blade Runner 2049 l’année prochaine (histoire de revenir truster mon top 🙂 )
  4. WILLY 1er – Ludovic & Zoran Boukherma, Marielle Gautier & Hugo P.Thomas : L’ovni de cette sélection. La palme du cœur, j’aurais aimé le mettre en top 1 juste pour le soutenir car la performance de Daniel Vannet est hallucinante pour un non-professionnel un peu « limité » mentalement, mais ce mélange de « StripTease » & « Confessions Intimes » au premier abord touche droit au coeur et fait mouche !
  5. CAPTAIN FANTASTIC – Matt Ross : Viggo crève l’écran, et le réalisateur évite de tomber dans le manichéisme et toute cette belle tribu nous fait bien réfléchir sur nos vies actuelles…
  6. PATERSON – Jim Jarmusch : Car seul Jim Jarmusch peut faire un film de 2heures où il ne se passe rien, où des poèmes défilent à l’écran, où un couple banal voit ses actions quotidiennes banales filmées tous les jours et pourtant on est pris aux tripes tellement c’est beau, simple, poétique, éthéré. Un grand Jim Jarmusch.
  7. ANOMALISA – Charlie Kaufman : Merci Charlie pour cette pépite d’animation loufoque et tellement belle.
  8. THE REVENANT – Alejandro González Iñárritu : Seulement 8ème car Birdman, car 21 grammes, bref, il peut mieux faire. Mais ça reste quand même époustouflant! Mais j’ai nettement plus aimé le côté survie, le côté grands espaces, le côté folie qui le gagne, que le côté Revenge Movie qui des fois sonnait un peu faux.
  9. MIDNIGHT SPECIAL – Jeff Nichols : Là encore, Jeff Nichols peut mieux faire (Mud, Take Shelter bordel!!!!!) mais un vrai bon film de SF !
  10. MEN & CHICKEN – Anders Thomas Jensen : La deuxième loufoquerie de cette sélection, par ce bon vieux Anders Thomas Jensen qui nous pond un bijou de délire consanguin zoophile complètement barré !!!
  11. THE STRANGERS – Hong-Jin Na : Sacré film que celui-là où on passe de la terreur, à l’incompréhension, au malaise durant tout le film. Nécessite pour ma part une deuxième vision, car il m’a hautement intrigué !
  12. MANCHESTER BY THE SEA – Kenneth Lonergan : Parceque Casey Affleck et puis voilà! 🙂
  13. MADEMOISELLE – Park-Chan Wook : Un très bon Park-Chan Wook qui revient à ses premiers amours; violence, perversion, vengeance, on l’aime quand il est comme ça!
Noodles

Fan de cinéma depuis longtemps, je partage mes opinions avec vous. N'hésitez pas à me donner votre avis sur mes critiques. Sur Twitter je suis Noodles, celui qui tombe systématiquement dans le piège des débats relous.

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