Salut toi ! Doctor Who, tu vois ce que c’est et tu n’as jamais osé sauter le pas ? Ou tu n’en a jamais entendu parler et tu cherches une série incroyable et géniool (géniale et cool) ? Dans ce « cours », tu trouveras tous les éléments pour bien débuter un « fanatisme » sans bornes.
Les sujets abordés seront les suivants :
- De quoi ça parle ?
- D’où ça vient ?
- Pourquoi y a t il un véritable engouement planétaire ?
- Par quels épisodes commencer ?
- Pourquoi ça va changer ta vie ?
Prend ton plus beau stylo 4 couleurs, ton Stabilo et ton cahier…
Bienvenue à DW101 – cours d’introduction à la série la plus regardée depuis 52 ans !
Doctor Who : qu’est-ce que c’est ?
Autant commencer par le début, n’est ce pas ?
Doctor Who est une série anglaise diffusée sur la British Broadcasting Corporation, aussi connue sous le nom BBC. Si le tout premier épisode a été diffusé le 23 novembre 1963, on distingue tout de même deux « parties », la première allant de 1963 à 1989 puis de 2005 à maintenant. La dernière saison en date est donc la 8ème, car on compte à partir de 2005. Au milieu, en 1996, sort tout de même un téléfilm visant à relancer la série, sans succès. Anecdotique, me direz-vous, mais pas tant ça, vous répondrais-je plus tard dans l’article. La série relancée en 2005 fût d’abord financée par la BBC (d’où des effets spéciaux dignes du « Retour des tomates tueuses ») puis BBC America y a ajouté son grain de sel (d’où des effets spéciaux dignes de James Cameron). Voilà pour le côté pratique.
De quoi ça parle ?
Doctor Who est une série de science-fiction dans laquelle on retrouve un personnage central, appelé « le Docteur« , qui voyage dans le temps et l’espace dans un vaisseau spatial qui a la forme d’une cabine téléphonique. La cabine téléphonique, appelée « T.A.R.D.I.S. » (pour Time And Relative Dimension In Space) est un peu détraquée et emmène notre solitaire Docteur vivre des aventures de malade dans n’importe quel endroit du temps et de l’univers, voire même ailleurs. Solitaire, pas tant que ça, car la plupart du temps, le Docteur est accompagné par des « compagnons » qu’il rencontre au gré de ses aventures. « Ah c’est un peu comme Code Quantum ? » entend-je souvent. Oui si ça vous donne envie de regarder la série, et non car en fait, ça n’a rien à voir. Pour pousser le délire encore plus loin, le Docteur est un extraterrestre, un Seigneur du Temps né sur la planète Gallifrey, dernier de son espèce et qui a forme humaine, à la seule différence qu’il n’a pas un cœur, mais deux. Enfin, quand il sent sa fin proche, le Docteur ne meurt pas mais il se régénère, c’est à dire qu’il change de visage (et donc d’acteur hé hé) et un peu de personnalité.
Pfiou, ça fait beaucoup d’infos d’un coup, je sais, mais pas d’inquiétude ça va bien se passer.
D’où ça vient : Doctor Who et le Royaume-Uni
En Angleterre, Doctor Who n’est pas juste une série qui marche, c’est un emblème culturel. Les saisons sont diffusées à la fin de l’été pendant 12 semaines (12 épisodes) suivies d’un épisode dit « de Noël » diffusé …à Noël et suivi par tous les anglais. (Quand je pense que nous, on se tape des bêtisiers…bref). Cet épisode spécial dure souvent plus d’une heure (contre 42 minutes en temps normal) et annonce la saison suivante. Lorsqu’on sait qu’un nouvel acteur va jouer le Docteur (environ tous les 3 ans), il y a une émission en direct diffusée sur la BBC suivie par une graaaaande majorité d’anglais, avec sons et lumière, suspense etc…Enfin, chaque année il y a un concert donné au Royal Albert Hall de Londres (appelé les « Proms »), et dans le reste du monde depuis peu (appelé « Dr Who Symphonic Spectacular »), pendant lequel un orchestre symphonique joue la bande originale de la série, entrecoupé par les acteurs qui viennent participer, des projections, des acteurs déguisés et des spectateurs déguisés aussi. C’est la fo-lie !
Pour vous rendre compte du phénomène, voici un extrait des « Proms » de 2010, extrait illustrant les régénérations évoquées plus haut.
Au passage, les régénérations sont des moments particulièrement difficiles pour les Whovians (nom donné aux fans de Doctor Who) car :
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on ne sait jamais comment ça va se passer et on passe tout l’épisode à se dire « ça arrive, ça arrive, ça va être affreux » ;
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même si on sait que la série ne s’arrête pas, on dit au revoir à un acteur auquel on s’est attaché pendant plusieurs années ;
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on se demande toujours si le prochain va nous plaire autant que celui d’avant ;
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même si il meurt pas vraiment, il meurt un peu quand même donc c’est un moment où tout le monde pleure comme une fillette (tapez « DW regeneration reactions » et vous verrez qu’on passe tous un moment très très difficile qui ferait passer Game of Thrones pour un épisode de Candy).
Comment cette série britannique est-elle devenue si populaire ?
Doctor Who est restée, pendant des années, LA série geek par excellence. Moi la première, j’en avais entendu parlé sans jamais avoir l’envie de sauter le pas. Décors cheap, pitch chelou, costumes bizarres, non merci. De plus, la série ne bénéficiait pas d’une grande diffusion en France alors qu’en Angleterre et aux USA, le programme est bel et bien installé comme une référence au niveau de l’audience. Il se trouve qu’un beau matin de samedi, je zappais de chaîne en chaîne jusqu’à ce que je tombe sur France 4 sur un épisode dans lequel Carey Mulligan (vue dans « Drive ») se retrouve aux prises avec des statues meutrières. On y voit à peine le Docteur, et les quelques minutes de suspense et l’intrigue ont suffi à me scotcher. J’étais faite comme un rat : il fallait que je vois les autres.
(retrouvez plus bas les épisodes à regarder quand on est débutant).
Car Doctor Who, ça n’est pas seulement un énergumène qui se balade un tournevis à la main pour résoudre des mystères mystérieux. C’est également une série profondément humaniste qui laisse ouverte la possibilité que rien, absolument rien, n’est impossible. Très peu d’épisodes sont mauvais, car les scénaristes (dont le showrunner Steven Moffat à qui l’on doit Sherlock mais aussi la série méconnue Jekyll), autant que tous les acteurs, y sont excellents.
Pendant des années, des millions de gens ont regardé Doctor Who sans que la France n’en sache rien, jusqu’au jour du 23 novembre 2013.
Ce jour-là, la BBC diffuse un épisode « hommage » pour fêter les 50 ans de la création de la série appelé Time of the Doctor. Et lance une promotion à l’échelle mondiale. Diffusions sur tous les réseaux sociaux, teasers, jeux concours, et même retransmissions au cinéma dans une dizaine de pays (dont la Russie…par exemple…). Google propose même le 23 novembre 2013 une bannière spéciale ainsi qu’un jeu créé pour l’occasion et uniquement ce jour-là. France 4, de son côté, propose une retransmission une heure après la diffusion anglaise. Du jamais vu pour une série « inconnue ». A la fin de la diffusion simultanée, 94 pays avaient regardé l’épisode, soit près de 77 millions de spectacteurs de par le monde, et la série se retrouve définitivement inscrite au Guinness Book des records comme série la plus regardée simultanément et aussi la plus longue jamais diffusée.
Pourquoi ça a du mal à démarrer en France ?
Et bien, si j’étais mauvaise langue, je dirais que la plus grande barrière culturelle entre la France et le Royaume-Uni est l’humour…Or, Doctor Who en est plein. Aussi, je dirai que regarder Doctor Who demande une grande ouverture d’esprit et une propension à envisager que des choses nouvelles et inconnues peuvent être bien. Enfin, la raison la plus probable reste la diffusion en elle-même. Les grandes chaînes françaises sont-elles prêtes à risquer leurs coupures pub pour un mec chelou détruisant des aspirateurs exterminateurs ? Il semblerait que non. Mis à part France 4 qui se positionne depuis plusieurs années comme une chaîne qui a tout compris, et qui n’hésite pas à mettre dans sa grille de programmes des séries comme Black Mirror, Teen Wolf et Métal Hurlant. Pourtant, les fans français de Doctor Who existent bien. Il y a un vrai réseau parallèle et ils se réunissent régulièrement à travers la France, remplissant les comptes des conventions bi-annuelles parisiennes et devisant sur des sujets de la plus grande importance (par exemple, Peter Capaldi est-il le 12ème ou le 13ème Docteur ? ). En même temps, puis-je envisager que TF1 diffuse les saisons en prime time ? Non. Quelque chose n’irait pas. Car Doctor Who, à l’image de son personnage principal, est quelque chose qui ne rentre pas dans les cases. Certains épisodes sont de véritables labyrinthes scénaristiques et mentaux, d’autres tout simplement farfelus. En fin de compte, Doctor Who a bien sa place sur France 4, peut-être manque t il juste un peu de communication.
Par quel(s) épisode(s) commencer ?
Quand on a jamais vu Doctor Who, il peut être difficile de savoir par quoi commencer. Maintenant que je vous sens bien chaud patate à vouloir vous lancer, voici donc une petite sélection d’épisodes qui ne nécessitent pas d’avoir tout vu depuis le début.
La cheminée du temps
Dans cet épisode, le 10ème docteur se retrouve dans un vaisseau spatial dans lequel se trouve un accès direct vers…la chambre de Mme de Pompadour !
Les anges pleureurs
Ici, le 10ème docteur n’apparaît presque pas, si ce n’est dans quelques bonus DVD. Un épisode parfait pour commencer sans rien connaître de la série.
Midnight
Le 10ème Docteur et Donna partent en vacances sur la planète Midnight, mais lors d’une excursion, un mal étrange et invisible prend possession d’une des passagères.
La Bibliothèque
Dans cet épisode en deux parties, le 10ème docteur (encore lui) se retrouve sur une planète qui est une bibliothèque…complètement vide. Que sont devenus les habitants ? C’est ce qu’il découvrira avec l’aide de sa « camarade » Donna Noble, et de…sa femme !
The God Complex
Le 11ème Docteur et ses compagnons Rory et Amy Pond se retrouvent dans un hôtel qui semble tout ce qu’il y a de normal, mis à part qu’on ne peut pas en sortir et que derrière chaque porte se cache la pire peur de celui qui l’ouvre…
The Girl who waited
Amy, compagnonne du 11eme Docteur, se retrouve coincé pendant 40 ans sur une planète aseptisée.
The Impossible Girl
Le 11ème Docteur arrive sur une planète désertée, guidée par une inconnue qui cuisine des soufflés dans sa cellule.
Les différents Docteurs depuis 2005

2005 : (9ème Docteur) : Christopher Eccleston. Acteur anglais vu beaucoup au cinéma, notamment dans Petites Meurtres entre Amis, ou plus récemment dans Thor The Dark World. Il a la lourde tâche de relancer la série après 16 ans d’absence sur les écrans TV. Après son année de travail, Eccleston décide de prendre ses distances avec la série. Ainsi, il n ‘apparait pas dans l’épisode des 50 ans, ni aux Proms.

2005 – 2010 (10ème Docteur) : David Tennant. Acteur écossais plutôt spécialisé dans le théâtre, David Tennant est le chouchou des Whovians. Déclarant qu’il a toujours voulu jouer dans DW, il ne s’est pas arrêter en si bon chemin quand il rend son tournevis en 2009. Il joue dans Harry Potter, dans Broadchurch (et Gracepoint, sa version US), dans beaucoup de pièces de Shakespeare qui lui valent plusieurs prix d’interprétation, et sacrément connu au Royaume-Uni. Connaître David Tennant, c’est vous assurer des « aaaah! » admiratifs dans vos soirées mondaines.

2010 – 2014 (11ème Docteur) : Matt Smith. À l’âge de 28 ans, et quasi inconnu, Matt Smith récupère le rôle après David Tennant. Lourde tâche donc, parfaitement exécuté durant 4 ans. Dernièrement, on l’a vu dans Lost River de Ryan Gosling et on le verra dans Terminator Genysis. Prions pour que son ascension ne s’arrête pas en si bon chemin.

2013 – 20 ?? (12ème ou 13ème Docteur, il y a débat) : Peter Capaldi. Depuis une saison, c’est donc lui et ses légendaires sourcils qui tiennent le rôle d’un Docteur plus âgé, plus dur, plus blessé par sa longue vie. Etant un petit nouveau, les fans commencent à l’apprécier en essayant d’oublier l’ombre de Matt Smith qui plane encore.

2013 (Docteur Bonus) : John Hurt. Pendant l’épisode des 50 ans, on y retrouve une 13ème incarnation du Docteur, jouée par cet acteur anglais dont la présentation n’est plus à faire tellement son CV est long. Petit hic : le Docteur n’a normalement que 12 régénérations en stock, ce qui signifie en théorie, que Peter Capaldi en serait l’ultime incarnation … (tin tin tiiiiiiiiin)
Tous les Docteurs depuis 1963 :

Quelques compagnons du docteur
Un Docteur n’étant rien tout seul, voici un descriptif également des différents compagnons qui ont accompagnés les voyages intersidéraux du seigneur du temps. (Ne sont repris ici que les compagnons affirmés, pas les rencontres fortuites ou de second plan).
9ème Docteur : Rose Tyler (Billie Piper). Petite banlieursarde blondasse et un peu vulgaire, elle tombe sur le Docteur par hasard et le suit dans des aventures folles pendant 2 ans. Jusqu’à l’inévitable pour toute femme qui se respecte : tomber amoureuse du Docteur. Avant ou après sa femme ? A vous de le découvrir.
10ème Docteur : après ses escapades avec Rose et son petit cœur brisé, il rencontre Martha Jones (Freema Agyeman), mais la place n’est pas facile à prendre quand on est la « suivante ». Elle tiendra du mieux qu’elle peut pendant deux ans puis NEXT ! Jusqu’à… Donna Noble (Catherine Tate). Ici nous avons un compagnon plutôt interressant et en général apprécié des fans. En effet, il n’y a aucun rapport de séduction entre Donna et le Docteur, ce qui donne lieu à de savoureux dialogues.
11ème Docteur : là, nous faisons la rencontre des compagnons les plus intéressants de Doctor Who, le duo Amy Pond et Rory Williams, couple marié (une première!). En effet, le rapport 11ème Docteur / Amy est très particulier. On pourrait le qualifier de paternel, mais comme ils ont le même âge à l’écran, c’est un peu particulier. Après le départ du couple, Clara Oswald fait son apparition en rencontrant le Docteur à différentes périodes. C’est elle qui tient encore aujourd’hui compagnie au 12ème Docteur.

Les méchants
Le Docteur a moults vilains contre qui jouter, cependant, certains reviennent régulièrement.
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Les Daleks : ce sont les pires méchants, ceux le plus craint par le Docteur. Ils ressemblent à des aspirateurs dans lequel se cache un petit bonhomme qui lui, ressemble plutôt à un calamar. Ils sont super méchants et donc, super intelligents. (voir l’épisode qui se passe à New-York, avec en guest star : Andrew Garfield !). Leur mot préféré : Exterminate !
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The Master : pendant longtemps, le Docteur s’est cru l’ultime survivant de sa planète. C’est sans compter un autre Maître du Temps, plutôt machiavélique qui se fait appeler « Le Maître ». Le Docteur est tiraillé entre l’envie de le détruire…ou de s’en faire un pote. (Après tout, il ne reste plus qu’eux).
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Les Cybermen : alors attention, méchants particulièrement dégueulasses quand on a de l’empathie. Les Cybermen ont autrefois étaient des êtres humains qu’on a enfermé dans une « armure » de robots. Pour ne pas se rendre compte de leur affreuse situation, on leur a collé un inhibiteur d’émotions. Mais quand ça se détraque…
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Le Silence : alors voilà des méchants qu’on ne voit pas assez. Le Silence sont des espèces d’aliens en costard cravate qu’on oublie totalement une fois qu’on les a vu. Pour ne pas se faire avoir, le Docteur et sa fine équipe s’écrivent allègrement sur le corps dès qu’ils en croisent un. Flippant.
Pourquoi ça va changer votre vie ?
Parce que le personnage du Docteur est un personnage profondément humaniste. Même les méchants, il essaie toujours de trouver une solution, de les comprendre et de ne pas se fier aux apparences. Regarder une série avec un personnage aussi sympa va vous rendre sympa (encore plus, j’veux dire).
Parce que vous allez vo-ya-ger. A Londres ou au milieu d’une étoile en pleine destruction, dans les entrailles de Mars où vous rencontrerez Lucifier himself, ou dans le centre de la Terre où vivent des lézards géants, chaque épisode peut vous emmener absolument n’importe où.
Parce que vous allez rire. Doctor Who n’est pas une série comique en elle même, mais comme je vous le disais plus haut, le fameux humour anglais y est largement représenté. Ne soyez pas surpris donc, que le Docteur sorte une répartie bien sentie à un moment dramatique. (Réplique qui vous fera dire « Ah le con ! »). Et rire, prendre du recul, tout ça tout ça, c’est bon pour votre quotidien.
J’espère que ce petit cours d’introduction à cette série que vous ne pouvez plus ignorer vous a été profitable et je reste bien sûr à votre disposition pour toute question et précision en salle des profs et durant les intercours.
Class Dismissed !

Selon moi, vous avez oublié de citer les anges pleureurs plutôt redoutable qui eux se nourrissent en quelques sorte de temps (ex : votre vie)
PS: Ne clignez jamais des yeux !
Mais malgré cela, votre article est très bien présenté,
félicitation et bonne continuation !
Cordialement: Alex.
Bonjour ! Pardon du délai de réponse, je n’ai pas vu le commentaire tout de suite. Pour les anges pleureurs, vous voulez parler de la section « Méchants » ? Sinon je conseille les anges pleureurs dans les épisodes pour se mettre à la série. Mais je note de le modifier. Merci 🙂
« le silence : ….on oublie totalement une fois qu’on les a vu »
-> La phrase est mal tournée, on les oublies quand on détourne le regard..
Rose était avec Christopher Eccleston ET David Tennant
« The Master : pendant longtemps, le Docteur s’est cru l’ultime survivant de sa planète. C’est sans compter un autre Maître du Temps »
-> C’est faux, le maître est son ennemie depuis treeees longtemps, c’est juste qu’il meure souvent et qu’il trouve toujours le moyen de ressusciter. C’est un SEINGEUR du temps. Il aime se faire appeler « maître » juste parce que c’est un psychopathe.
« Le Docteur est tiraillé entre l’envie de le détruire » : C’est faux, le docteur n’a jamais eu l’envie de le tuer, il a toujours risqué sa vie pour le sauver et lui laisser une chance. Cependant il essaie aussi toujours de l’arrêter de faire des génocides…
John Hurt incarne (tres supposément) le 9ieme docteur (seule réincarnation que l’on a pas vu), ce qui fait que tous les autres sont décalé. Matt Smith est donc le 12ieme (et plus le 11ieme) et c’est pour cela qu’on lui offre un nouveau cycle de régénération, sinon il serait mort sur Trenzalore. C’est aussi pour cela que David Tennant s’est mis à compter les enfants de Gallifrey.